Au carrefour de l’art, du commerce et des médias, la publicité est parfois, voire souvent, plus polluante qu’un troupeau de camions-bennes, lâchés sans précaution, dans un monde shooté aux hydrocarbures en voie de raréfaction galopante, mais…

Mais elle peut parfois aussi offrir au public des instants de pur bonheur.

Offrir également aux artistes : un public, une audience, des relations, du temps et les moyens d’utiliser, sinon d’inventer, les outils de leur époque,… sans oublier, nonobstant, et c’est à noter, de leur donner des territoires de chasse pour faire bouillir la marmite, pas loin de la piscine à débordements.

Un exemple au hasard? Cette campagne pour Omax, fabricant d’objectifs photo. « Omax, Wide Angle Lenses ». 3 affiches cultes à méditer.

Bien ? Pas Bien ? Pas Mal ?

Bien, pas bien, l’intro guitare de Thunderstruck (AC/DC) ? Mui, muai, Ho mui, muai ? A l’instar de la campagne Omax, citons pour exemple B, cette affiche culte pour Wonderbra. Un visuel, un logo (trop petit). Propre. Carré. Net. Opération réussie.

Ho muai, mui ?

A l’instar de la campagne Omax, citons pour exemple B, cette affiche culte pour Wonderbra. Un visuel, un logo (trop petit aux dires du client). Propre. Carré. Net. Opération réussie.

Une publicité print qui fait le djob demandé par son annonceur tout en sublimant la fonction d’un métier par ailleurs bien piégeux.

Le Client : Omax

Le Produit : Wide Angle Lenses.

Le Brief : Clair.

Les grandes orientations du lundi ont été posées. Casser la baraque.

Omax Wide Angle Lenses

Pendant ce temps là, au Japon…

    Ils ont des avis très favorables.

    Un grain de sel à faire péter ?

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